La société de transport Uber a mal terminé l’année 2019. Sa note de RSE, décernée par Moralscore, a été revue à la baisse : elle n’est plus que de 35/100.
2019 aura indégnablement été une année dure pour Uber. L’entreprise de transport VTC a fait face à plusieurs affaires à problèmes qui ont largement entamé sa crédibilité. En plus de problèmes fiscaux en Europe, Uber à été confronté à une affaire d’usurpation d’identité des chauffeurs ainsi qu’à des cas d’agressions sexuelles. L’entreprise a aussi été pointée du doigt pour sa participation aux émissions de gaz à effet de serre.
Les campagnes anti-Uber se sont multipliées sur les réseaux sociaux (comme en France avec le hashtag #Ubercestover). Encore pire pour l’entreprise : l’autorité des transports londoniens a pris la décision de lui retirer, en novembre 2019, sa licence suite aux problèmes de contrôle d’identité des chauffeurs Uber. Dans plusieurs pays, des appels au boycott ont même été lancés en 2019.
2 abaissements de note la RSE en deux mois
Après autant d’affaires, la sanction ne s’est pas fait attendre. En décembre dernier, la plateforme de notation RSE Moralscore a revu à la baisse la note de la société Uber. En décembre, elle est passée à 40/100. Et en ce début de mois de janvier, la note a encore baissée : elle n’est plus que de 35/100.
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